SUD-KIVU : Les défenseurs des droits humains du Sud-Kivu, attirent l’attention de la première dame, Denise NYAKERU, afin qu’elle ne soit pas induite en erreur par monsieur Damien NTAMBUKA ainsi que le gouverneur Théo NGWABIDJE et le Professeur MUBALAMA qui veulent lui vendre la concession de Murhala se trouvant à Katana Kabare au Sud-Kivu, une concession qui ne leur appartiennent pas, au risque de créer la triste situation de MBOBERO 2 dans le Groupement d’Irhambi/Katana.
Ces défenseurs le disent dans une déclaration de dénonciation rendue publique ce Jeudi 06 Avril 2023.
Me Pascal Mupenda qui a lu cette déclaration, souligne qu’ils ont constaté que le gouverneur Théo NGWABIDJE KASI et le Professeur Jean-Claude MUBALAMA ZIBONA, usent de leur influence politique et de moyens de l’Etat, en s’ingérant dans une affaire judiciaire opposant Monsieur BUHENDWA BWA MPAMA Melchior, citoyen congolais résidant à Berlin en Allemagne, et actuellement domicilié à Ouagadougou au Burkina-Faso à Monsieur Damien NTAMBUKA ZAGABE, Gérant de la Société de Transport et Pêche Lacustres (SPTL Sarl), alors que la justice a longtemps clôturée ce dossier.
Notre source indique qu’après avoir échoués sur toutes les instances du pays Mr Damien NTAMBUKA, Théo NGWABIDJE et le Professeur MUBALAMA sont en train de collaborer avec monsieur Christophe NYAKERU, ce dernier étant en même tant travailleur à la Maison Civile du chef de l’Etat, afin de convaincre sa grande sœur, la Première dame Denise NYAKERU, épouse du Chef de l’Etat Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO, pour qu’elle leur achète cette concession de MURHALA, lui faisant croire qu’elle leur appartient, alors que c’est une propriété privée de Mr BUHENDWA BWA MPAMA Melchior.
Ces défenseurs des droits humains s’étonnent que ces précités utilisent le Colonel Jules de la garde présidentielle après que des policiers soient retirés sur ce lieu sur ordre du parquet. Ils indiquent que ce colonel s’entête à garder et à renforcer ses éléments sur la Coline de Murhala, prétendant sécuriser un patrimoine de la famille présidentielle sur ordre de sa hiérarchie, alors que, contacté à ce propos par ces défenseurs, le Commandant de la Garde Républicaine et ses services ne reconnaissent pas avoir donné un quelconque ordre au Colonel Jules de sécuriser cette concession, qui du reste appartient à un particulier.
Suite à cette situation, ces défenseurs des droits humains alertent la communauté tant internationale que nationale par rapport à toute perte en vie humaine ou autres dégâts qui pourraient survenir dans la concession de MURHALA si les éléments de la Garde Républicaine ne libèrent pas cette dernières.
Nos efforts pour entrer en contact avec ces personnes incriminées dans cette affaire sont restés sans succès.