Les anciennes mesures de dédouanement pénalisent les opérateurs économiques de Baraka

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UVIRA, SUD-KIVU:- La société civile de la ville de Baraka tiens une séance de plaidoyer pour améliorer le climat des affaires dans la ville de Baraka et territoire de Fizi, cette activité s’est tenue à Uvira dans la salle de restaurent la Gratia ce jeudi 05 décembre.

Des représentants des services étatiques commis au port de Mushimbakye dans la ville de Baraka comme celui de DGDA, OCC, OGEFREM,FPI, DGRAD ont pris part dans cette activité pour échanger avec la société civile mais aussi avec les représentants des opérateurs économiques sur les anciennes mesures de dédouanement que la société civile considère comme des mesures qui n’ont pas leur place aujourd’hui d’autant plus que ces mesures ne sont plus utilisées à hier, mais une pratique qui s’observe à ce port.

Selon le président de la société civile de Baraka, ils ont tenu cette séance à Uvira pour atteindre les autorités des services commis au port de Mushimbakye, pour que des décisions soient prises pour faciliter les opérateurs économiques de Baraka et améliorer un climat malsain qui s’observe depuis un temps entre les opérateurs économiques de Baraka et les services étatiques commis au port de Mushimbakye et d’autres points d’accostages du territoire de Fizi.

Joseph Apolo Musambya, précise que les dédouanements des marchandises dans la ville de Baraka se font différemment par rapport aux autres endroits des affaires, raison qui pousse la société civile de Baraka de mener ce plaidoyer pour exiger les services étatiques œuvrant à Baraka de se conformer aux nouvelles lois du pays qui définissent le dédouanement des marchandises.

Ici nous vous proposons de suivre monsieur Joseph Apolo Musambya qui s’exprime par rapport à cette activité il est au micro d’Imurenge.com

De son coté la chef de bureau de l’OGEFREM/Uvira, présente dans cette activité a conseillé les opérateurs économiques de Baraka de chercher touts les documents nécessaires avant même de quitter le lieu d’embarquement de leurs marchandises pour se conformer à la loi et échapper aux pénalisations au niveau de port lors de dédouanement.

Madame Justine Konewa, a demandé aux opérateurs de Baraka de s’abonner à l’OGEFREM afin d’avoir des cartes des commerçants enregistrés dans cette institutions pour que si une fois les marchandises se perdent avant d’atteindre la destination, son institution s’en charge et trouve une solution en faveur du propriétaire des marchandises perdues.

Le chef de bureau de la DGDA/Baraka a promis à la société civile et aux opérateurs économiques de Baraka de chercher un lieu d’entente entre son institution et ses partenaires qui sont les hommes d’affaites de Baraka ici, il donne un délais de 48 heures pour donner la position de son institution sur certaines demandes de la société civile et les opérateurs de Baraka.

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